Ne pas éjaculer : est-ce une maladie ?

Au moment où de nombreux hommes se plaignent de l’éjaculation précoce, il existe d’autres catégories de personne qui n’arrivent pas à une éjaculation. Et cela reste une réalité au sein des hommes. Pour ce faire, il est important de savoir si ce problème est une réaction normale lors d’une relation sexuelle. Mais si ce n’est pas le cas, les précautions à prendre pour y remédier. Lisez l’article pour avoir des réponses.

Ne pas éjaculer ou l’anéjaculation 

L’anéjaculation est un trouble dans le système de fonctionnement du pénis. Il arrive au cours du rapport sexuel lorsque l’homme désire se libérer du sperme. Il se retrouve ainsi sans émission du liquide séminal ou celui-ci sort en écoulant en petite quantité et sans jets puissants. Cela suffit à l’homme pour dire je n’arrive pas a ejaculer. Cependant, il est important de comprendre que cela se produire sous plusieurs formes. L’éjaculation rétrograde, dans ce cas le sperme au lieu de sortir de la vessie remonte dans celle-ci. 

L’anéjaculation peut être aussi orgasmique ou sans orgasme. Pour le premier, l’homme a d’orgasme, mais n’arrive pas à se libérer de l’éjaculat ou libère une quantité insignifiante de sperme. Mais, sans orgasme, il n’y a ni orgasme ni libération de sperme. Dans la plupart des cas, il peut s’agir d’un trouble neurologique. 

Précautions à prendre contre l’anéjaculation

Comme souligner dans les lignes précédentes, le fait de ne pas éjaculer est un trouble et cela nécessite la consultation d’un médecin. En effet, la consultation d’un spécialiste nécessitera qu’il soit mis au courant de certaines informations médicales. Il s’agit de la qualité de l’érection, le niveau d’atteinte de l’orgasme, la libido… D’autres informations plus pointues sont aussi importantes pour le spécialiste pour établir un bon diagnostic. Il s’agit des antécédents chirurgicaux, de diabète, de pathologies neurologiques et bien d’autres. 

Selon le cas de diagnostic établi, plusieurs traitements peuvent être envisagés. Il peut s’agir d’un apport en testostérone, d’un traitement par voir endoscopique. Par ailleurs, si la cause est psychique un traitement psychothérapeute doit être envisagé.